Mémoires de la famille EBERT 
VERDUN : Mon Père ramena au péril de sa vie
son chef blessé, le capitaine CAILLES ...
C'est alors que mon Père rencontra ma
Mère à BOU-SAADA ...

1934 : Mes Parents s'établirent à TENES
On lui octroya une camionnette-ambulance
et pharmacie avec un traducteur. Il fit avec
des tournées d'une journée ou deux
dans le différents douars des environs.

Mon Père avaait un aide en ville :
Mohamed FEKIRI
qui servait de traducteur avec
les patients arabes

Une fois mon Père reçu une femme et
son bébé en piteux état ...
Et puis un soir le boucher de TENES
lui dit "Docteur il faut que tu partes
tu es le premier sur la liste des gens à tuer".
Mon Père vendit sa maison et s'installa
à EL BIAR, banlieue d'ALGER.
C'est là que je rencontrais mon futur
mari : Jocelyn SERIOT.

Après l'indépendance, un algérien se
présenta avec un bras en écharpe.
C'était un faux malade qui venait pour
faire un mauvais coup ...
Mes Parents quittèrent l'Algérie en 1964
pour attérrir à MARSEILLE.





VERDUN : Mon Père ramena au péril de sa vie
son chef blessé, le capitaine CAILLES ...
C'est alors que mon Père rencontra ma
Mère à BOU-SAADA ...

1934 : Mes Parents s'établirent à TENES
On lui octroya une camionnette-ambulance
et pharmacie avec un traducteur. Il fit avec
des tournées d'une journée ou deux
dans le différents douars des environs.

Mon Père avaait un aide en ville :
Mohamed FEKIRI
qui servait de traducteur avec
les patients arabes

Une fois mon Père reçu une femme et
son bébé en piteux état ...
Et puis un soir le boucher de TENES
lui dit "Docteur il faut que tu partes
tu es le premier sur la liste des gens à tuer".
Mon Père vendit sa maison et s'installa
à EL BIAR, banlieue d'ALGER.
C'est là que je rencontrais mon futur
mari : Jocelyn SERIOT.

Après l'indépendance, un algérien se
présenta avec un bras en écharpe.
C'était un faux malade qui venait pour
faire un mauvais coup ...
Mes Parents quittèrent l'Algérie en 1964
pour attérrir à MARSEILLE.






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